• Démonstration de la non-responsabilité professionnelle dans les pertes subies et de leur impact sur le développement de l’entreprise

      Les pertes estimées ci-après ne sont en aucun cas imputables à un manque de compétence professionnelle ou à une mauvaise gestion de l’entreprise. Elles résultent exclusivement de circonstances extérieures, sur lesquelles je n'avais aucun contrôle : crises économiques, décisions administratives incohérentes et procédures injustifiées.

      1. Un parcours bâti à partir de rien, malgré les embûches
        L’entreprise a été créée sans aucun capital de départ, uniquement portée par mon savoir-faire artisanal, mon engagement et ma ténacité.
        Très tôt, le développement a été entravé par :

        • Les lourdes démarches et oppositions à la construction de mon propre atelier, retardant durablement l’activité.

        • Le refus d’accès à la décharge communale, source de complications logistiques et de frais injustifiés.

      2. Des crises économiques majeures qui ont aggravé la situation

        • La crise économique de 1993 a provoqué un net ralentissement des investissements dans le bâtiment.

        • La crise des subprimes dès 2008 a encore fragilisé le secteur, réduisant les opportunités et gelant de nombreux projets.

        Ces crises ont généré des pertes financières importantes sans rapport avec la qualité de mon travail ou ma gestion.

      3. Des procédures injustifiées et des décisions administratives incohérentes
        Des blocages administratifs et des recours infondés ont entraîné des pertes et des projets abandonnés, malgré mon professionnalisme et ma rigueur.

        • Aucun travail n’a jamais nécessité d’être repris ou refait. La qualité et la précision ont toujours été au cœur de mon engagement.

        • Jamais un client ni un partenaire n’a pu me reprocher d’avoir causé des pertes financières sous ma responsabilité.

        • Les banques ont accordé leur confiance en soutenant mes projets par des prêts cumulés atteignant un million de francs, preuve de la crédibilité de mon entreprise.

        • Une reconnaissance incontestable de mes compétences et de ma gestio

        • J’ai formé quatre apprentis, dont deux ont obtenu les meilleures notes aux examens finaux, tandis que les deux autres ont également bien réussi, l’un en devenant indépendant et l’autre en accédant à un poste à responsabilités. »
        • À cinq reprises, des artisans-entrepreneurs en difficulté sont venus me demander de passer un temps dans mon entreprise afin de retrouver leurs marques, preuve supplémentaire de ma reconnaissance professionnelle et humaine dans le milieu artisanal.

      4. Un impact durable sur le développement de l’entreprise
        Malgré cette solidité professionnelle, les pertes accumulées en raison de ces événements extérieurs ont eu des répercussions sur le développement :

        • Investissements retardés ou annulés.

        • Projets bloqués ou abandonnés.

        • Trésorerie fragilisée

        page 1  
    Pour information  et réflexion:      
           
Pertes et dommages dus à la responsabilité des banques par la crise économique
           
Pertes dues;  indécisions de justice pour dédomagements
           
           
           
           
   

 1975 - 1982

     
    L'ambiance dès le départ de ma vie professionnelle      
    par mon projet de construction d'un atelier.       
    Cinque années de démonstrations et tergiversations à       
    décourager les plus courageux.      
           
    A considérer       
    Mes démarches et entêtements sont à l'origine de la       
    création d'une zone artisanale dans ma commune.      
           
    Pour info:      
    Vous trouvez ci-annexé, relatée sous la rubrique N0.1       
    ci- précédemment .      
           
           
1985   Première procédure judiciaire:      
    Plainte injustifiée et dérives judiciaires      
           
    La première procédure judiciaire que j’ai dû affronter fut      
    déclenchée par une plainte déposée par un avocat de Sierre,    
    agissant pour le compte de mon locataire. Ce dernier, dans      
     une tentative de se soustraire à ses obligations, avait cédé      
    sa créance à cet avocat, dans l’espoir de récupérer      
    personnellement ce qu’il considérait être un préjudice que      
    je lui aurais causé. En effet, j’avais retenu une partie des      
    montants dus pour les locations, en compensation de travaux    
    réalisés en sous-traitance pour moi mais mal ou non honorés.    
    Cette affaire a été marquée par un comportement      
    particulièrement choquant du juge en charge. Il est allé jusqu’à    
    falsifier les témoignages à l’audience, et ce malgré      
    l’intervention énergique de mon avocat, Maître Henri Carron.      
    Ce dernier, ulcéré par l’attitude du magistrat, a menacé de      
    quitter la salle et exigé la récusation du juge si les propos des    
    témoins n’étaient pas rétablis dans leur intégrité. Cet épisode    
     illustre malheureusement les dérives possibles lorsque certaines    
    personnes occupent des fonctions pour lesquelles elles ne sont    
    ni préparées ni compétentes.      
    Heureusement, l’issue de la procédure m’a donné raison.      
    Cependant, malgré ce jugement favorable, je n’ai reçu aucun    
    dédommagement pour les frais engagés : les consultations avec    
    mon avocat, les nombreuses heures passées à préparer les    
    dossiers, et les comparutions au tribunal. La perte financière    
    directe de cette procédure reste difficile à estimer, mais elle      
    fut bien réelle.      
    Heureusement, j’étais alors couvert par une assurance      
    juridique, et j’ai pu compter sur l’aide précieuse d’un avocat      
    expérimenté et fiable.       
           
    Sans ces deux atouts, je n’ose imaginer jusqu'ou cette      
    procédure aurait pu me mener.      
           
    Perte due à l'indécision en dédommangement de la justice  CHF.  8'000.00  
           
           

 

  1989    
  Fernandez  Branson     
  Inscription d'une hypothèque légale     
       
  Dans le dossier Fernandez à Branson, nous avions inscrit une     
   hypothèque légale des artisans afin de garantir le paiement     
  des travaux réalisés. Malgré cette inscription, la Banque     
  Cantonale Valaisanne (BCV) a obtenu la priorité sur les créances,   
  ce qui a entraîné la perte du montant qui nous était dû.    
  Cette décision de justice, que je considère discutable, a eu     
  pour conséquence une perte financière d’environ CHF 20'000     
  pour notre entreprise. Ce cas illustre les limites de la protection   
  juridique dont peuvent bénéficier les artisans face aux     
  établissements bancaires.    
       
   La BCV s'est donné la priorité              " Perte " CHF     20 000,00
       
  Perte due à une décision très discutable de la justice    
       
  1993 à 1997    
  Crise économique    
  Anéantissement total de 5 années d'investissement    
       
  1993 – Crise économique : un coup d’arrêt brutal    
       
  L’année 1993 a marqué un tournant dramatique pour moi. Une     
  crise économique, dont les racines profondes échappaient à    
  bien des acteurs du terrain, a balayé en quelques mois cinq     
  années entières d’investissements, d’efforts et de travail acharné.  
       
  Ce sont des années de création, de publicité, de développement  
  de gammes de mobilier rustique, de stockage de matériaux, de   
  préfabrication minutieuse, qui ont été réduites à néant. Tout     
  un pan de mon activité – celui des créations rustiques     
   – s’est retrouvé frappé de plein fouet.    
       
  1997 – Assainissement douloureux et réadaptation forcée    
       
  Quatre ans plus tard, en 1997, il a fallu procéder à un assainissement   
  complet du stock. Cette opération était indispensable pour     
  réévaluer la marchandise selon sa valeur réelle, lourdement    
  dépréciée depuis la crise.    
  Cet assainissement, bien que nécessaire, a représenté une     
  perte financière conséquente. Il venait solder une réalité amère :   
  celle des erreurs, de l’aveuglement ou de la médiocrité des    
  spécialistes de la haute finance, dont les décisions ont eu des    
  conséquences désastreuses sur l’économie réelle et sur les    
  petites entreprises comme la mienne.    
       
  en travail,  publicité, matériaux stockés et préfabriqués    
  concerné par le domaine des créations rustiques. CHF   250 000,00
       
  Assainissement du stock pour réadaptation à la     
  dévaluation concéquente à cette crise CHF     77 000,00
       
  Pertes dues à la médiocrité des hauts spécialistes    
  de la finance  ( crise économique )    
 
       
  Il faudrait aussi relater les 10 années suivantes avec   
       
  des intérêts élevés, les pertes dues aux distributeurs     
  d'actes de défauts de biens, les problèmes de liquidité    
  L'ambiance de travail très tendue etc.    ????????? 
       
       
  1997    
  Réalisation villa en commun avec plusieurs artisans  
       
  Perte due à la médiocrité des hauts spécialistes    
  de la finance   ( crise économique ) CHF       4 000,00
       
       
  1999à 2008    
  Vionnet Genève    
  Inscription d'une hypothèque légale     
       
  À la suite d’un impayé de CHF 45'000.– pour un chantier à Genève,   
  j’ai engagé une procédure d’inscription d’une hypothèque légale.   
  Cette démarche, qui aurait dû être rapide, a duré huit ans.    
       
  J’ai fini par récupérer la somme, mais à quel prix :    
  Procédure coûteuse (CHF 100'000.– à deux),    
  Aucun dédommagement pour mes frais personnels,    
  Clients en faillite, donc aucune réparation possible pour le     
  Préjudice subi. En pleine crise économique, ce blocage de    
  trésorerie a pesé lourd sur mon activité.    
  J’estime mes pertes indirectes à au moins CHF 25'000.–, sans     
  compter le stress et le manque de soutien d’une justice lente    
  et inefficace.    
       
  Perte due à un comportement totalement inacceptable    
  de la justice  ( et comble de tout en pleine crise )    
  Estimation:        ( certainement sous-estimée) CHF     15 000,00
       
       
  Total estimé des pertes entre 1975 et 2008 CHF   366 000,00
       
   ( Très certainement très sous-estimée)